Selon un récent sondage Odoxa–Abeille Assurances, prouver son « impact » positif sur le plan sociétal et environnemental est en train de devenir un véritable facteur clé de succès pour les entreprises en général et, en particulier, pour les banques et assurances.  Une notion « d’entreprise à impact » de plus en plus connue des français que l’abeille Assurances souhaite soutenir avec son appel à projet. 

Des français vigilants sur l’impact positif des entreprises…

2 sondés sur 3 disent prendre en compte les différents impacts environnementaux des entreprises et « 76% des Français assurent qu’ils seraient incités à consommer davantage les biens et services d’une entreprise qui se lancerait dans une démarche d’impact positif. » C’est ce que révèle ce sondage Odoxa-Abeille Assurances.

Ainsi, 47% des Français mettent en pole position une consommation engagée comme levier pour faire évoluer les entreprises vers de meilleures pratiques environnementales et indiquent très clairement qu’ils seraient incités à consommer davantage (76%), mais également à travailler dans une entreprise ayant une démarche d’impact social, sociétal ou environnemental pour 65%d’entre eux.

« Notre étude le montre clairement dans tous ses enseignements, pour les entreprises en général et les banques et assurances en particulier, prouver son « impact » positif sur le plan sociétal et environnemental est en train de devenir un véritable facteur clé de succès pour celles qui se sont déjà investies dans ce domaine et un passage incontournable pour celles qui ne s’en préoccupent pas encore. », indique Karim Mokrane, chargé des relations presse chez Abeille Assurances.

…et exigeants sur la feuille de route de leurs engagements.

Avec 2 français sur 3 prenant en compte leurs différents impacts environnementaux, la prise en compte des engagements RSE des entreprises est devenue un sujet central pour les consommateurs :

• 52% disent avoir toujours accordé de l’importance aux impacts environnementaux et sociaux de leurs achats ;
• 47% à ceux de leurs déplacements (avion, train…) ;
• 8 Français sur 10 pensent que les entreprises du secteur privé sont légitimes pour s’engager et agir en matière de responsabilité sociale et environnementale.

Des chiffres qui doivent, selon l’étude, inciter les entreprises à faire des enjeux environnementaux un sujet tout aussi central qu’il l’est pour les citoyens : « Les entreprises doivent de toute façon agir, non seulement pour éviter d’être sanctionnées (par les consommateurs) si elles ne le font pas, mais aussi parce que cela pourra leur permettre d’obtenir des gains « business » bien concrets. »

Les notions de responsabilité sociétale et environnementale des entreprises sont d’ailleurs de plus en plus connues puisque 56% des Français ont déjà entendu parler d’« ESS », de « raison d’être d’entreprise », ou d’ « entreprise à impact. »

Des entreprises à impact qui pèsent sur l’avenir

L’importance des entreprises à « impact » peut se jauger aux 11% de salariés qui pensent travailler dans une « entreprise à impact », auxquels on peut ajouter les 17% de salariés travaillant dans une entreprise qui, selon eux, mériterait cette appellation.

Pour les Français, les deux facteurs qui pourraient le plus inciter les entreprises à changer pour avoir un impact plus positif sur leur environnement sont la pression des consommateurs et les aides de l’Etat.

« Les pouvoirs publics ont leur mot à dire pour promouvoir ces entreprises car les Français se montrent très sévères avec eux ! Hormis le Département et, dans une moindre mesure la Région, aucun des pouvoirs publics n’est crédité par une majorité de Français d’agir pour favoriser leur émergence ou leur développement » souligne Gael Sliman, co-fondateur et Président d’Odoxa.

« Mais, bonne nouvelle, les salariés pensant travailler dans une entreprise à impact sont, eux, bien plus persuadés que les pouvoirs publics œuvrent déjà pour favoriser ces entreprises. Eux aussi sont particulièrement positifs s’agissant du rôle de leur commune, de leur Département et de leur Région dans ce domaine » conclut-il.

La Fabrique Abeille Assurances veut promouvoir les projets d’entreprises à impact

Depuis sa création en 2015, La Fabrique Abeille Assurances se veut être un véritable catalyseur d’innovation en invitant les porteurs de projets avec un fort impact social et/ou environnemental à participer au concours national qu’elle organise.

En 7 éditions, ce sont 7000 projets déposés qui ont permis à 230 lauréats de se distinguer, parmi lesquels :

• Les Cafés Joyeux, une entreprise de restauration qui emploie des personnes en situation de handicap, principalement atteintes de trisomie 21 ou d’autisme ;
•  Eppur créateur d’un système de freinage Dreeft pour fauteuil roulant manuel qui a remporté en mai 2023 le concours Lépine ;
• Yuka, une appli qui analyse la composition des aliments.

Ainsi depuis 2015, ce sont 6 millions d’euros de dotations qui ont été distribués pour soutenir des projets dans les domaines de la santé, de l’environnement, de l’inclusion et de l’emploi au cœur des territoires.

Angéline Derache, membre du comité de direction générale, en charge de la Stratégie, du pilotage, de la communication et de la RSE déclare : « La Fabrique Abeille Assurances illustre notre vision du rôle d’un assureur et de l’engagement que nous avons dans les territoires. Aux côtés de nos assurés, particuliers ou professionnels, nous les protégeons et les accompagnons dans la durée dans la réalisation de leurs projets. Comme nos assurés, nous sommes attentifs aux enjeux de Société et entendons encourager les solutions innovantes et contribuer de manière effective à un monde plus juste et viable à long terme » poursuit-elle. « Les lauréats de La Fabrique Abeille Assurances peuvent en outre être accompagnés à plus long terme dans leur développement au travers de financements via nos fonds Abeille Impact Investing France et Alliance For Impact Venture.

Ces engagements sont attendus par les Français qui nous disent pour près de 80% d’entre eux via notre sondage Abeille Assurances- Odoxa- que les entreprises sont légitimes pour s’engager et agir en matière de responsabilité sociale, socié-tale et environnementale ; ils peuvent compter sur nous. »