Dans notre série de podcast « La voix de l’assuré », en quelques minutes, les millénials répondent à trois grandes questions autour de l’assurance et de l’innovation. Les réponses sont diverses et parfois opposées, mais cela en dit beaucoup sur la perception de l’industrie par les jeunes générations. Voyons tout de suite ce qu’il en ressort.
Quelle est l’importance de l’assurance dans la vie courante ?
L’un des répondants énonce que 7 jours sans assurance changerait son comportement. D’autres personnes qui sont dans la positive parlent de faire plus attention et de réaliser des actes de prévention en guise de protection.
Une répondante dit qu’elle ne serait pas encline à se passer d’une protection assurantielle pendant une semaine, car pour elle, c’est justement à ce moment-là qu’un dommage survient.
Un autre homme répond aussi que 7 jours sont trop dangereux et trop risqués, voire même 1 jour. Il n’est pas le seul à faire partie des réponses négatives. C’est un filet de sécurité et une nécessité financière absolue pour deux d’entre eux.
Le secteur de l’assurance est-il innovant ?
Les avis sont mitigés sur la capacité de l’assurance à être innovante. Certains parlent de contrat sur mesure et donc de la nécessité de constamment innover pour correspondre au mieux aux besoins des assurés.
D’autres expriment un manque de confiance envers le secteur des services et des administrations en général, et une certaine méfiance. Des répondants ont peur que les assureurs créent des besoins inutiles tout en continuant d’insérer des subtilités dans leurs produits.
Toutefois, quelques personnes qui ont un avis négatif peuvent en changer en bénéficiant de plus de détails et du rétablissement d’une confiance entre les deux parties. Aussi, tout dépend du prix de l’assurance.
Quelles seraient les caractéristiques de l’assureur idéal ?
Si nous devions regrouper les commentaires des répondants, l’assureur idéal doit être présent et vigilant durant toute la durée du contrat, du début à la fin.
Il doit offrir un tarif groupé avantageux attractif tout en ne demandant pas un montant important de pièces justificatives et en assurant le client malgré ses défauts.
Le contrat, qui doit être court, doit donner des garanties claires et doit énoncer les clauses précisément et lisiblement noir sur blanc.
La confiance est aussi un facteur essentiel durant tout le processus. L’assureur idéal est proche de ses clients. Il est à leur écoute et fait preuve de prévoyance.
Il alerte l’assuré lorsque le contrat arrive à échéance et prévient de la possibilité de résilier plutôt que d’effectuer une tacite reconduction.
Pour une parfaite collaboration, l’assureur conseille ses assurés en fonction de leur mode de vie et est toujours disponible pour le faire. Il informe ainsi des évolutions possibles et est au courant de la situation de son client pour pouvoir modifier le contrat en conséquence.
En termes de sinistres, l’assureur idéal fait preuve de réactivité, prend en charge directement les dommages sans faire de longues vérifications. Il répond immédiatement aux questions du client sans passer par différents services et aide en cas de difficulté.
Enfin, il s’engage pour des causes importantes et respecte tous ses engagements.
Que faut-il en retenir ?
Nous nous apercevons que les termes de confiance, innovation et de réactivité sont particulièrement importants pour les millénials.
Les assureurs doivent donc travailler là-dessus s’ils veulent satisfaire les besoins de leurs clients et améliorer l’image de l’industrie.
Ils doivent aussi faire preuve d’innovation et de transformation pour que l’assurance se développe dans le sens des besoins des clients.