Crédit Agricole Assurances : prévoyance, assurance inclusive

Dans un épisode du podcast « Les Voix des Solutions », Nicolas Denis, Directeur général de Crédit Agricole Assurances, est invité à explorer les enjeux de la prévoyance et de l’assurance inclusive, deux concepts clés pour une société équitable.

Le podcast « Les Voix des Solutions » est une réflexion sur l’inclusion sociale et économique. Animé par Véronique Faujour, Secrétaire générale de Crédit Agricole SA et déléguée générale de la Fondation Grameen Crédit Agricole, ce rendez-vous mensuel accueille des personnalités engagées du Crédit Agricole qui élaborent des solutions concrètes à divers défis sociaux.

Dans le troisième épisode du podcast, Nicolas Denis, Directeur général de Crédit Agricole Assurances et de Predica, partage sa vision de l’assurance comme outil d’inclusion. Pour lui « L’assurance est par nature inclusive. » Il identifie trois piliers fondamentaux du secteur : l’universalité, la mutualisation, et l’accessibilité. « Notre vocation est d’assurer tous nos clients, sur tout notre territoire, sur tous les marchés (on ne peut pas quitter les territoires les plus risqués), nous cherchons à mutualiser sur la base de nos clients la plus large, et nous nous devons de rendre le plus accessible possible nos solutions d’assurance. »

Cette vision inclusive est illustrée au Crédit Agricole par des offres telle que l’assurance habitation pour les jeunes, l’accessibilité à l’assurance vie avec des sommes modérées, ou des supports d’investissement favorisant l’inclusion portant sur des thèmes essentiels comme l’économie sociale et solidaire, l’éducation ou l’alimentation.

Véronique Faujour interroge également Nicolas Denis sur son concept de « société du risque ». Selon lui, « la matière assurable monte et le besoin de protection aussi. » Il insiste sur le fait que « tous les risques sont en croissance : les risques démographiques et de vieillissement avec des questions comme le mieux vieillir et le bien vieillir, les risques de santé (on l’a vu avec la pandémie), les risques climatiques, qui touchent la matière première assurable, mais aussi la santé, et des nouveaux risques apparaissent, comme le cyber. »

Face à ce constat Nicolas Denis rappelle les deux jambes sur lesquelles repose l’assurance : « prévoir et réparer ». Or si le « réparer » est déjà bien plutôt bien maîtrisé par les assureurs le « prévoir » nécessite encore des efforts, surtout en matière de changements climatiques.

Enfin, il insiste sur l’enjeu de mieux adapter et mieux mutualiser le régime CATNAT, ainsi que ne de surtout pas quitter les territoires à hauts risques (notamment les territoires marqués par la sécheresse avec le risque de retrait gonflement argile).

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