Renouvellement de la gouvernance à l’institut des actuaires : engagement renforcé pour l’intérêt général
L’Institut des actuaires a récemment renouvelé son Conseil d’administration lors de son Assemblée générale du 30 mai 2024, marquant ainsi une nouvelle étape dans son évolution stratégique. Sous la présidence réélue de Laurence Bauduin, l’Institut confirme son rôle central dans le secteur de l’assurance, notamment à travers les défis posés par les ruptures technologiques et les risques émergents.
Nouvelle composition du bureau
Le nouveau Bureau, élu le 4 juin 2024, reflète la diversité et l’expertise des membres de l’Institut des actuaires. Outre Laurence Bauduin, présidente, le Bureau inclut Simon Le Dily en tant que vice-président, Olivier Lopez en qualité de secrétaire général, Stéphanie Foata reconduite en tant que trésorière, et Arnaud Cohen ainsi qu’Alexandre Payen en tant qu’adjoints à la présidence.
Réaffirmation des engagements
L’Institut des actuaires, acteur majeur reconnu d’intérêt public, se positionne comme un défenseur de l’intérêt général et de la durabilité. Face aux défis contemporains tels que la pandémie, les risques climatiques et cybernétiques, il s’engage à maintenir l’excellence académique et professionnelle de ses membres. Cette approche est renforcée par le soutien à la recherche et la promotion de l’interdisciplinarité au sein de la communauté actuarielle.
« Les actuaires jouent un rôle crucial en éclairant les risques et en tracant l’avenir pour le secteur assurantiel et financier », souligne Laurence Bauduin. À travers ses 50 Commissions et Groupes de travail, ainsi que son Institut du Risk Management, l’Institut des actuaires continuera à promouvoir l’innovation et à anticiper les évolutions du marché.
Engagement collectif et perspectives futures
Les membres du Conseil d’administration, représentant différentes générations et spécialisations actuarielles, s’engagent à poursuivre ces objectifs communs. Ils comptent sur la collaboration au sein de l’Institut pour répondre aux nouveaux enjeux et maintenir l’expertise nécessaire à la gestion des risques complexes.
Source : CP