Beomai est une plateforme innovante qui réunit les services des professionnels du bien-être périnatal, et offre un accompagnement pour les futurs parents, de la grossesse à l’arrivée de l’enfant, en passant par le post-partum et même le deuil périnatal.
1 couple sur 4 se sépare après la naissance d’un bébé. Alors, Catherine Deiber, diplômée d’HEC et doula certifiée, a fondé Beomai. Ce nom, signifiant « je vivrai » en grec ancien, incarne la mission de cette application : offrir un soutien structuré aux futurs et nouveaux parents. En réunissant les services de doulas et de coachs périnataux, Beomai s’inspire des pratiques des pays anglo-saxons, dans lesquels ces métiers sont largement reconnus pour leur impact positif, prouvé par des études cliniques.
Une application innovante au service des parents
Beomai se positionne à l’intersection du médical et des services à la personne, avec pour objectif de permettre aux parents de vivre pleinement et sereinement l’arrivée de leur enfant. La marketplace réunit divers experts périnataux, tels que des sages-femmes, des consultants en lactation, des sophrologues, des doulas, des coachs, des diététiciens, des naturopathes, des psychologues, et bien d’autres. Ils offrent leurs services sous forme de rendez-vous individuels ou d’événements collectifs, à domicile, dans des lieux dédiés ou via la plateforme de visioconférence de Beomai.
Les parents peuvent participer à des ateliers, des cercles de parole thématiques, des activités sportives ou de loisirs, des rituels de soins, et recevoir un accompagnement personnalisé. Beomai permet également une interaction directe avec les experts et d’autres parents, créant ainsi une communauté de soutien.
Pour soutenir le pouvoir d’achat des parents, Beomai propose également une cagnotte grossesse et post-partum. Les parents peuvent y déposer de l’argent dès le début de la grossesse et inviter leurs proches et employeurs à contribuer. Cette initiative permet aux entreprises de s’impliquer dans le cadre de leur politique RH ou RSE, tout en respectant la vie privée des parents.
Source : La tribune