La fabrication de véhicule demande des quantités considérables d’eau et d’énergie. Elle génère également un volume significatif de déchets. Pour les acteurs du secteur automobile, la réduction de leur impact environnemental est désormais une priorité.
De son côté, le milieu de l’assurance entend accompagner cette transformation en promouvant les comportements responsables chez leurs collaborateurs.
Pour améliorer leur impact social et environnemental de nombreux assureurs travaillent mains dans la main avec leurs collaborateurs pour proposer à leurs assurés des solutions plus responsables. Dans cette perspective, Generali propose l’utilisation de PIEC (Pièces Issues de l’Économie Circulaire) comme option de réparation automobile.
Ces pièces, provenant du recyclage, sont présentées comme une alternative aux pièces neuves. Elles sont issues de véhicules hors d’usage et traitées par des centres agréés. Selon Generali, ces pièces répondent aux mêmes critères que les pièces neuves en termes de qualité et de sécurité.
L’utilisation d’une PIEC pourrait ainsi permettre une véritable réduction de la consommation de matières premières et d’énergie. De plus, le coût d’une PIEC serait en moyenne 40 à 50% inférieur à celui d’une pièce neuve.
L’assureur indique encourager l’usage de pièces auto recyclées pour la réparation des véhicules accidentés. Elle entend par ailleurs intégrer davantage l’économie circulaire dans ses activités : actuellement, 7% des réparations des véhicules de leurs clients seraient réalisées avec des pièces de réemploi, mais l’objectif est de passer à 20% d’ici 2024.
Ainsi, si le secteur automobile semble vouloir s’orienter vers des méthodes intégrant davantage l’économie circulaire, les assureurs semblent quant à eux prêts à les soutenir dans cette démarche.