Allianz France, annonce son adhésion à l’Institut du Numérique Responsable et signe la Charte du Numérique Responsable, lancée en juin 2020, qui met en avant un numérique plus respectueux de l’environnement.
La transformation numérique dans les entreprises a permis d’énormes avantages pour les organisations. Mais malgré tout, l’empreinte numérique, devient un véritable enjeu.
L’entreprise Allianz vient donc de signer une charte Numérique Responsable afin de faire évoluer les comportements. Elle fait suite au plan de l’assureur, qui œuvre à faire du numérique un enjeu responsable.
« Instaurer un numérique responsable fait partie intégrante de notre plan stratégique » a d’ailleurs déclaré Romaric Hatit, directeur des systèmes d’information de l’assureur. « C’est un engagement fort, d’autant que la digitalisation de nos activités et le télétravail augmentent significativement notre empreinte numérique » poursuit-il.
Des dispositifs au programme
L’objectif de ce nouveau programme est de proposer des offres de services accessibles à tous, inclusives et durables, favoriser des pratiques numériques éthiques et responsables, rendre le numérique mesurable, transparent et lisible et étendre l’émergence de nouveaux comportements et valeurs.
Concrètement, Allianz France a réalisé un audit de l’ensemble des équipements informatiques afin de remplacer les matériels les plus énergivores. Les équipements usagés sont orientés vers une filière de reconditionnement ou de recyclage. Aussi, une collecte de déchets électroniques a été mise en place dans le cadre du World Clean Up Day.
Notons qu’en matière d’initiatives green, Allianz France apporte depuis 2014 son soutien financier à Simplon.co, école inclusive qui forme aux métiers du numérique. L’entreprise a également remporté l’édition 2021 du Sustainable Digital Challenge.
La responsabilité carbone comme enjeux
Autre engagement responsable du groupe, celui de la neutralité en termes d’émissions de gaz à effet de serre issues de ses sites et de ses activités sur plus de 70 marchés dès 2030, au lieu de 2050 comme prévu initialement. Dès l’année prochaine, Allianz n’investira plus ou n’émettra plus de nouveaux contrats d’assurance dommage liés à de nouveaux projets pétroliers et gaziers.