Un nouveau-né qui convulse ; un bébé qui s’étouffe : des urgences vitales. Pas facile pour les jeunes parents ou les proches de connaître les gestes qui sauvent. La Matmut a donc décidé d’inclure dans son contrat Santé Ociane le module Bébé Urgences développé par Salvum. Au menu, les premiers secours d’urgence pour les nourrissons de moins d’un an, mais aussi les gestes de prévention et les soins des bobos du quotidien.
Des fiches de connaissances, des dossiers thématiques, des exercices pratiques et des quizz thématiques pour s’évaluer… avec Salvum, les jeunes parents disposent d’une boîte à outils pour savoir comment protéger et secourir leur bébé. Etouffements, plaies et brûlures, convulsions fébriles, traumatismes, pertes de connaissance et arrêts cardiaques sont ainsi abordés. Salvum Bébé Urgence a été réalisé avec des experts formateurs en Initiation aux Premiers Secours Enfant et Nourrisson.
Les formations se veulent ludiques, pédagogiques, interactives et accessibles à tous, à distance. Un algorithme qui adapte la difficulté en temps réel au niveau de l’apprenant. Les modules favorisent l’immersion et la réflexion pour une meilleur rétention des informations.
Le mouvement Salvum, ce sont des dizaines de milliers de personnes qui ensemble ont décidé de sauver des vies. Depuis sept ans, Salvum poursuit un objectif : démocratiser l’accès au secourisme. Depuis sa création en 2014, plus de 75 000 apprenants ont ainsi été formés. Salvum compte aujourd’hui dix collaborateurs, cent entreprises partenaires et cent associations de sécurité civile partenaires.
D’autres mutuelles proposent des formations de premiers secours sur les enfants et les bébés, sous forme de vidéos, mais aussi dans le cadre d’ateliers en présentiel.
En France, seulement 20 % de la population serait formée aux gestes qui sauvent. Chaque année en France, une famille sur deux est touchée par un accident domestique ou de la vie courante, allant d’une simple brûlure à une chute mortelle. En tout, ce sont plus de 20 000 personnes qui en décèdent tous les ans, auxquelles s’ajoutent les 53 000 personnes victimes d’arrêts cardiaques, fatals dans 90 % des cas.
Sources : Matmut, Salvum, Mutuelle de France Unie