Le podcast FinPro accueille la fondatrice d’une assurance 100 % féminine créée par des femmes pour des femmes en Australie. En démarrant avec une couverture auto, Stella poursuit la création de produits et d’expériences client dédiée aux femmes pour satisfaire leurs besoins et les accompagner dans leur quotidien.
Pour résumer, de quoi parle cet épisode ?
Sam White, la PDG de Stella Insurance parle, entre autres, de la fondation de sa société, de la prédominance masculine dans l’industrie de l’assurance, à ce que ressemble un produit d’assurance créé avec la vision d’une femme et de divers éléments autour de l’entrepreneuriat et de l’évolution dans ce segment.
L’épisode est particulièrement adapté aux auditeurs friands de produits différents et bousculant les codes. Le domaine reste le même, mais les règles changent !
Quel est le contenu du podcast avec Stella Insurance ?
C’est depuis ses 24 ans que Sam a l’envie d’entreprendre et cela s’est confirmé durant toute sa carrière au sein de l’industrie de l’assurance, qui, d’après elle, est très masculine. Elle manque d’un point de vue féminin pour concevoir les choses d’une autre manière. Les produits sont pour la plupart et depuis toujours fondés par les hommes.
La PDG trouve aussi que l’assurance manque de sophistication et de précision pour convenir parfaitement aux besoins de chaque consommateur. Les services conviennent généralement à une partie d’individus, et non à un en particulier.
L’Australie est le berceau de Stella Insurance, car grâce à la réglementation, l’assurance auto est tarifée d’une façon différente pour les femmes et est moins élevée du fait que ce sont elles qui conduisent le plus prudemment.
De plus, un pourcentage de la cotisation d’assurance est investi dans un centre d’urgence et d’écoute des femmes victimes de violences conjugales. L’engagement est donc particulièrement prononcé.
Bien entendu, des hommes peuvent souscrire aux produits assurantiels de Stella, mais ils sauront qu’ils n’ont pas été conçus spécifiquement pour eux. Par exemple, la protection prend en charge plus de biens tels que les sacs à main qui contiennent des objets à un prix plus élevé et qui sont souvent exclus des autres contrats.
Enfin, elle conclut que les mentalités évoluent petit à petit, mais qu’il reste des points essentiels sur lesquels la plupart des personnes ont encore des préjugés. Pour illustrer, Sam parle des difficultés qu’elle a eues pour bénéficier d’investissements dans le développement de ses entreprises où les banquiers ont plus confiance en des hommes qu’en des femmes.