« Les personnes de quarante ans et plus à ce jour ont eu la chance incroyable d’avoir traversé une époque qui a vu, de sa naissance à sa transformation vers autre chose, un phénomène de progrès, entièrement issu de l’imagination de ses fondateurs, qui, au contraire de la recherche spatiale ou des développements pour la santé, n’avait aucun but, aucune ligne stratégique globale et identifiable, mais la conviction insensée qu’il fallait absolument donner une chance à chaque individu de la planète de se relier avec un autre. Une sorte de nouvelle constellation, ni terrestre ni spatiale, juste numérique. »
L’humanité aura mis moins d’un demi-siècle à parcourir le chemin menant du numérique à l’intelligence artificielle. Cette dernière est souvent une source d’angoisse, parfois alimentée par le cinéma et la littérature, alors qu’elle peut être développée au service de progrès à notre avantage, comme cela est bien montré dans l’ouvrage de François Petitjean, Sine Capita – Du numérique à l’Intelligence Artificielle, professionnel de la publicité ayant parcouru le monde des agences. Il fait partie aujourd’hui de ces passionnés de l’idée qui subsistent pour transmettre un message fort empli de valeurs.
L’humanité aura mis moins d’un demi-siècle à parcourir le chemin menant du numérique à l’intelligence artificielle. Cette dernière est souvent une source d’angoisse, parfois alimentée par le cinéma et la littérature, alors qu’elle peut être développée au service de progrès à notre avantage, comme cela est bien montré dans l’ouvrage de François Petitjean, Sine Capita – Du numérique à l’Intelligence Artificielle, professionnel de la publicité ayant parcouru le monde des agences. Il fait partie aujourd’hui de ces passionnés de l’idée qui subsistent pour transmettre un message fort empli de valeurs.