affirme Chris Cornell, associé, audit, et leadeur national, assurance, de KPMG au Canada. « Les assureurs veulent – et doivent – faire affaire avec le client de la façon qui lui convient. Que ce soit au moyen d’une expérience numérique, directement avec la compagnie ou en passant par un courtier » ajoute-t’il. M. Cornell fait aussi remarquer que certains assureurs ont décidé d’aller plus loin avec l’assurtech afin de dégager des économies, de fonctionner plus efficacement, de faire davantage appel aux données, et de préconiser une approche client. « Les assureurs conviennent toutefois que ces possibilités à exploiter s’accompagnent de coûts considérables et de risques stratégiques », dit-il. Voir l’intégralité de l’article du Journal de l’assurance.