Jean-Louis DAVET, Directeur Général délégué du Groupe VYV a publié une Tribune parue le 31 janvier 2018 dans Le Cercle des Echos que nous souhaitions partager avec vous.
« Les PIA (protection impact assessment) du RGPD, par exemple, font écho aux démarches d’ORSA (own risk solvency assessment) de S2 où chaque processus de décision stratégique ou opérationnel significatif doit intégrer une analyse d’impact sur la solvabilité de l’assureur. La nouvelle fonction de DPO (data protection officer) renvoie aux notions des quatre « fonctions clés » imposées par S2 (actuariat, gestion des risques, audit, conformité). Dans les deux textes, l’esprit de transparence due à l’individu (utilisateur, client, assuré etc.) pour le protéger, soit dans sa vie privée, soit face au risque que l’assureur ne puisse tenir ses engagements financiers, est mis en exergue et fait l’objet de procédures strictes ou de rapports. Les menaces financières de la non-conformité sont dans les deux cas pour le moins significatives : jusqu’à 4% du chiffre d’affaires groupe pour le RGPD, et l’épée de Damoclès du fameux « add-on » pour S2, latitude donnée au régulateur d’imposer une exigence supplémentaire en capital, qu’il évaluera en fonction de sa propre appréciation du risque encouru par l’assureur. »
Retrouvez l’article de Jean-Louis Davet – Directeur Général délégué du Groupe VYV (MGEN-ISTYA-HARMONIE)