Libraires, disquaires, agences de voyage, aujourd’hui taxi, hôtel, paiements électroniques, le logiciel avec l’open source, peut-être l’automobile, le transport routier, la liste des secteurs « victimes » de l’Uberisation s’allonge et accélère sa croissance. « La rupture dans la qualité d’expérience client et l’effondrement des coûts détruisent les positions qui semblaient pourtant assurées. »
C’est le sens du progrès et de l’histoire dans la logique marchande : voudrions nous revenir en arrière ?
Pour certains, pas de regret. Je me souviens des quarante appels à des taxis un soir à Niort. Pour finir, c’est le patron du restaurant qui me raccompagne à l’hôtel. Aujourd’hui, je paye mon Uber avec délectation.
La boucherie sociale s’annonce avec les plateformes et les automatisations, l’intelligence artificielle. Elle interroge tant nos sociétés que des économistes libéraux discutent sérieusement d’un salaire universel sans travail. C’est une grande inquiétude pour tous les dirigeants de secteurs établis.
Pourquoi l’assurance y échapperait-elle ?… Voir l’article complet de Maurice PARRAGUETTE, COO Gras Savoye Willis Towers Watson.