Aviva est très actif dans le domaine de la culture et du mécénat. Comme le prouve son partenariat avec la Philharmonie de Paris et la mise en place du projet « Démos ». Ce projet permet un apprentissage à la musique classique d’enfants défavorisés.
Aviva finance le projet « Démos » porté par la Philharmonie de Paris à hauteur d’une contribution de 85 000 euros pour une durée de 3 ans. A travers cette initiative, Aviva veut démontrer son rôle d’entreprise citoyenne.
Démos (Dispositif d’éducation musicale et orchestrale à vocation sociale) est un projet de démocratisation culturelle s’adressant à des enfants issus de quartiers relevant de la politique de la ville ou de zones rurales insuffisamment dotées en institutions culturelles, qui ont entre 7 et 14 ans, et qui n’ont pas accès à la musique classique.
Depuis 2010, Démos s’attache à favoriser l’accès à la musique classique par la pratique instrumentale en orchestre. Le dispositif doit sa réussite notamment à un encadrement éducatif adapté, à la coopération entre acteurs de la culture et acteurs du champ social, au développement d’une pédagogie collective spécifique et à la formation continue des intervenants. A l’origine, ce projet qui concernait 450 enfants vivant en Ile-de-France, est devenu un programme national qui devrait toucher près de 3 000 enfants cette année.
Initié et coordonné par la Cité de la musique-Philharmonie de Paris, Démos se déploie aujourd’hui sur le territoire national grâce à des partenariats avec les collectivités territoriales.
« Nous sommes ravis de compter parmi les nouveaux partenaires du programme Démos et ainsi permettre à des jeunes issus de quartiers défavorisés d’avoir accès à l’éducation musicale. C’est aussi pour Aviva une nouvelle occasion de s’impliquer dans un programme de solidarité en phase avec ses valeurs d’égalité des chances et d’œuvrer ainsi pour assurer l’avenir. Enfin, c’est le moyen pour Aviva d’être impliqué dans nos territoires comme nous le faisons aussi avec la Fabrique Aviva en faveur des projets entrepreneuriaux solidaires. », explique Patrick Dixneuf, directeur général d’Aviva France.
Jean-Luc Gambey
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